Brunch du Lundi de Pâques, avec la tribu Poirier-Simard, chez Michel-Yvan
Les petites décorent les oeufs avec le ''kit'' apporté par Tante Pascale
Tante Pascale a même trouvé des bonnets de lapin
La quiche, les fruits et les samosas sont faciles à manger
Grand-papa heureux de serrer Liloo, Iris et Maya
Délicieux souper de Pâques chez Andrée et Normand, avec toute la smala.
Charlotte et Liloo
Victor et sa maman Marie-Julie
Victor, Tata-Ge, Naomi, Vincent et Olivier
Le lendemain de notre arrivée, une forte neige nous retient à la maison: nous n'avons pas nos pneus d'hiver.
Maman ne s'en plaint pas, elle adore jouer au 500.
La rivière est gonflée de la fonte des neiges.
Réjean a bricolé des chenilles sur son micro 4X4, acheté l'an dernier.
Agréable dîner au restaurant avec Grant, Edmonde, Anne, sa fille Amélia, et Liloo. www.cochondingue,com sur René-Lévesque
Amélia et Liloo s'apprivoisent tranquillement et deviennent complices.
Arrivés 2 jours d'avance chez notre fils Michel-Yvan, nous reprenons contact avec la belle Liloo et toute notre progéniture.
Nous avions prévu une autre nuit Walmart entre Kingston et Montréal, mais nous avons préféré rouler un peu plus longtemps. En passant à Montréal, le Canal Lachine n'est pas encore complètement libéré de sa glace.
Comme plus aucun camping n'est ouvert dans la région, nous dormons dans le stationnement d'un Walmart, à côté d'un tas de neige sale, pour la première et dernière fois du voyage.
Cheminant entre des systèmes orageux et même un peu de grêle, nous entrons brièvement en Virginie Occidentale puis montons vers le nord jusqu'au Wolf Run State Park, un camping tranquille (nous sommes presque seuls) au bord d'un lac, au sud de l'Ohio. Il fait frais (50F le jour) mais nous avons l'électricité pour notre calorifère.
Dans ma mémoire, le nom de ''Secretariat'' évoquait un cheval de course. J'ai constaté ici à quel point il était célèbre.
Plusieurs sculptures rendent hommage à la beauté de ces chevaux.
Man O'War fut tellement apprécié (il n'a perdu qu'une course dans sa longue carrière) qu'à sa mort il fut embaumé et exposé trois jours, avant d'être enterré dans ce mausolée.
L'après-midi de notre séjour à Lexington, les orages violents qui nous ont frappés et des avertissements de tornades possibles nous ont forcés à réviser notre itinéraire. À l'aide des prévisions météo sur internet, nous avons choisi de rouler plus longtemps vers l'est et le nord-est, plutôt que de monter directement au nord vers Détroit.
Dans notre itinéraire de retour, nous avons voulu passer par Lexington, à cause du nom de notre premier motorisé. Le camping que nous avions choisi pour la nuit est voisin du ''Kentucky Horse Park'', un vaste ensemble consacré aux organismes spécialisés dans l'élevage des pur-sang. Nous sommes vraiment ici à la ''mecque'' des éleveurs de chevaux. Mon père, qui adorait les chevaux, aurait sûrement aimé venir ici.
Sur la route depuis Nashville, nous avons emprunté la ''Bluegrass Parkway''qui nous a permis de voir des champs entièrement colorés violet. Cette herbe à fleurs bleutées fait partie de la diète spéciale des pur-sang élevés dans la région. Le terme ''bluegrass'' désigne aussi un style de musique country américaine.
Les arbres du coin commencent à se parer de fleurs et de bourgeons.
Nous sommes campés en banlieue nord de Nashville, en ce beau dimanche après-midi. Comme nous ne sommes pas très ''country'', nous ne refaisons pas les 15 milles pour aller visiter en ville.
La vaste caverne pouvait accommoder 15 à 30 personnes. Les archéologues ont retracé des poteries de plus de 2,000 ans, des arcs, des flèches, des armes et des outils de plus en plus sophistiqués, ainsi que des signes de commerce avec d'autres peuples pour des outils.
Ce bloc rocheux de presqu'un mètre de haut semble rempli d'empreintes fossiles.
Un ingénieux système à manivelle permet d'entendre les descriptions du site sans source d'énergie externe.
Les premiers sentiers de randonnée du site ont été construits de gravier et de goudron, en 1962, à l'aide d'ânes et de charriots de bois.
Les paysages de cette région, à la limite de l'Alabama et du Tennessee, ressemblent beaucoup à ceux de chez-nous.
Russell Cave offre un des plus longs et des plus complets tableaux archéologiques de l'est des États-Unis.
Un ruisseau s'enfonce dans la caverne creusée depuis 9 à 11,000 ans.
Du côté droit de la caverne, ouverte à l'est, des éboulements et des dépôts de traces d'activité humaine depuis 9,000 ans ont élevé le plancher jusqu'à 30 pieds (10 mètres) au dessus du niveau original.
Les fouilles, commencées en 1953 par des archéologues amateurs, ont été continuées par le Smithsonian Institute et la National Geographic Society, puis par le Service des Parcs Nationaux en 1962.
